deWilson Ana Lucia

Extrait d'un article du Standard-Freeholder, Février 10, 2011
Par Cheryl Brink

Ana Lucia de Wilson était sévèrement déprimée lorsqu’elle et son mari sont arrivés, à Cornwall, il ya deux ans. Le couple a quitté leur pays natal, le Guatemala afin de poursuivre une opportunité d'emploi, mais il a fallu du temps pour une femme, pleine d’entre gens, parlant l’Espagnole à s'adapter au froid du nord.
Ce fut une exposition d'art qui l'aida à s'acclimater. «Je sors de ma coquille à travers l'art», dit-elle.

De Wilson dit qu'elle et née entre les chevalets et la peinture. "Grâce à sa mère, une artiste, elle a grandi entourée par la créativité. Mais ce n’est quand arrivant à Cornwall qu’elle réalisa qu’elle n’avait rien à perdre en soumettant une œuvre lors d’un concours par jury à la galerie d'art qui elle a vraiment apprécié son propre talent. « Lorsque j’ai vu la réaction des gens vis- à-vis mes peintures, j’ai décidé de poursuivre ce talent ».

C'était en 2010 que de Wilson a remporté le prix du choix du public, la motivation parfaite pour joindre la communauté des arts et relever de nouveaux défis.
"C’est, ce qui nous a poussés a commencé; dit-elle, se référant à elle-même et à sa mère, qui ont décroché la première place dans la même exposition «Nous avons commencé à peindre comme des folles.»

Ce n’était pas compliqué pour elle d’appliquer cette année pour l’exposition-concours. Et de nouveau, elle a décroché un prix. «J'étais ravie, J’ai travaillé dur. J'ai peint une œuvre spécifique pour cette exposition dans l'espoir de gagner quelque chose. Cette œuvre est intitulée « Pensées », a pris un mois et demi pour être complétée, à raison de quatre heures par jour. « Je ne peux faire qu’une peinture par mois", a t’elle dit. « Je passe beaucoup de temps sur chaque peinture - peut en importe la taille.
De Wilson a dit qu'elle est inspirée par la nature, la plupart de ses œuvres sont des fleurs. «J'aime le réaliste", a t’elle dit. «Je n’utilise que cinq couleurs pour la plupart d'entre elles ». Elle passe une moyenne de quatre heures par jour penché sur un chevalet, et enseigne également à tous niveaux d’âges à la galerie d'art, une position qu'elle a dit est extrêmement gratifiante."Je suis bénie grâce aux étudiants ... toutes sortes de belles âmes. »

De Wilson a déclaré qu'il ne s'agissait pas seulement de la toile pour elle, il s'agit d'apporter du bonheur à celui qui l’installera dans son chez-soi.
«Ce sont des émotions émouvantes pour les gens et on seulement de l’art. C'est une perspective naturelle pour quelqu'un qui a trouvé un nouvel espoir et joie de vivre à travers une venue créative, pour ne pas mentionner une collection d'amis et de supporteurs. Grâce à l'art, j'ai trouvé une nouvelle voie. J'ai un groupe, à qui j'enseigne à la galerie. Il y a des choses passionnantes dans ma vie concernant l'art. Les gens de Cornwall ont été impressionnants.»