Adolescents: Fiction Mention honorable
Bibliothèque publique de Cornwall 2015
Les gagnants du concours d'écriture annuel
Veuillez noter : Ce texte a été traduit en français pour vous donner une idée du sujet.
LE CHEMIN DU RETOUR
Je me souviens, c'est clair comme le jour, dans le vent dans ce matin d'automne. Quelques jours après mon accident, je suis sortie pour ramasser mon journal du matin lorsque soudainement j'ai senti la brise froide se frôlant sur ma peau pâle. Je levai les yeux et remarquai que les arbres étaient nus et les feuilles bruissaient bas dans la rue. Je n'avais qu'une seule chose dans mon esprit. Mon thé matinal. J'ai toujours bu du thé le matin, car ça m’aidait à me préparer pour la journée.
En entrant dans la maison chaleureuse et confortable, j'ai fait mon chemin jusqu'au bout du long couloir sombre et tourna vers ma chambre où je vis ma valise. Je réalisais que j'étais en retard. «Oh non!» Ai-je dit. «Je ne peux pas être en retard aujourd'hui, je vais manquer le train!» Vitement, j'ai pris ma robe la plus élégante et la mis dans ma valise, et empaqueta le reste de mes vêtements pour le long voyage. J'avais décidé de porter un genre plus sophistiqué de robe pour le voyage en train, car vous ne savez jamais qui vous allez rencontrer. J'ai couru vers la porte et réalisé que j'avais oublié de prendre l'adresse dans mon autre manteau, alors je suis retournée dans la maison pour rapidement la chercher et indiquait 1455 Chemin cristal. Paris, France.
Je l'ai mis dans ma poche et volé à travers la porte. Je me souviens flottant sur les marches d'escalier et sautant dans un taxi. Quand je suis enfin arrivée à la gare, je fis la queue pour me procurer mon billet pour Paris. Je me suis dit. «Je ne peux pas attendre d'arriver à Paris. Toutes les lumières, tous les cafés et ces petites boutiques le long de la route. Quel endroit merveilleux pour aller! »
Après un certain temps, la dame en ligne derrière moi m'a demandé hâtée, «Allez-vous acheter un billet aujourd'hui ou demain?»
J'ai remarquai comme elle était impatiente, alors je lui ai simplement dit que je regrettais de ne pas avoir payer attention. J'étais tellement plongée profondément dans mes pensées concernant ce qui m'attendait bien au-delà de cette petite ville de Bodrum, de Turquie. J'ai mon billet et bientôt je partais de nouveau pour prendre le train. Une fois à bord, le conducteur m'a demandé si je voulais un wagon-lit. Je lui ai dit oui, car je savais que ce serait un long voyage.
Arrivant à mon wagon-lit, je me suis assise et placé mes sacs dans le compartiment des bagages au-dessus de ma tête lorsqu'un homme est venu frapper à ma porte. Je lui ai dit: «Bonjour, puis-je vous aider?»
Il m'a demandé s'il pouvait demeurer avec moi pendant les quelques nuits qu'il voyagerait. J'ai devinai qu'il n'avait pas aimé avec qui il était jumelé auparavant. Premièrement, lui ai-je mentionné nous nous connaissions à peine et qu'il serait tout à fait inhabituel pour nous de passer nos nuits ensembles. Nous avons alors décidé de parler pendant un certain temps pour apprendre à nous connaître. Je me sentais très à l'aise en parlant avec cet homme. Nous avions beaucoup en commun. Je me rendis compte que c'était ridicule pour moi de lui dire qu'il ne pouvait pas rester et je l'ai laissé passer son temps dans le wagon avec moi.
Plus tard dans la soirée, j'étais assise près de la fenêtre me rattrapant dans ma lecture lorsque tout à coup, je me levai les yeux vers le ciel rempli d'étoiles. Les étoiles étaient beaucoup plus brillantes que je ne les avais jamais vus auparavant. Je voyais la lune brillée sur l'eau lorsque nous avons passé sur un pont minuscule. La nuit était calme, j'ai entendu le sifflement du vent à proximité des arbres ouvrant, juste d'une fissure, la fenêtre.
J'entendis un bruit venant de l'autre bout de la pièce. C'était le ronflement du gentilhomme. Je l'ai regardai et remarqua qu'il portait des vêtements propres. J'ai constaté qu'il n'était pas un homme pauvre.
Il avait un beau visage long avec une mâchoire ferme, et très peu de rides. Il était de mon âge, 45 ans. Il avait les cheveux foncés et j'ai remarqué quand il c'est éveillé, qu'il avait les yeux bleus les plus clairs que je n'avais jamais vus. Il m'a rappelé un vieil ami, que j'avais quand j'étais une petite fille. Peu après, j'ai commencé à dériver.
Je me suis réveillée le lendemain matin à la chaleur du soleil brillant passant à travers la fenêtre et l'odeur du thé fraîchement versé. Je me suis assise et me retournai pour regarder l'étrange monsieur boire son thé. Il m'a demandé si j'en voulais un peu et je lui répondis avec plaisir, «Oui merci.» J'ai l'habitude de boire le thé lorsqu'il se refroidit lentement.
Nous avons commencé à parler des raisons pour lesquelles nous étions dans ce train. Il a commencé par expliquer qu'il était un écrivain, racontant un récit à propos d'un homme et dans sa carrière. Il m'a dit que son nom était Clark Rogers. «Ravi de vous rencontrer M. Rogers.« Ais-je dis.
«Vous pouvez m’appeler Clark."»A t-il insisté. «Mon nom est May Thompson» répondis-je.
Je lui ai dit que j'allais à Paris, en France. Il me regarda avec un regard surpris sur son visage puisqu'il y allait aussi. Nous avons bavardé pendant environ une heure avant que le train s'arrête dans une petite ville appelée Alpine Hills. Lorsque les passagers sortaient du train, nous avons entendu le conducteur crier, «Le train sera en arrêt pendant environ 45 minutes.»
Nous sommes sortis et avons marché dans les rues désertes et ne pouvions voir personne pendant des miles.
Nous avons remarqué plusieurs petites boutiques et restaurants le long de la rue. Nous avons décidé d'arrêter dans une boutique-cadeau tranquille où il vendait des petits bibelots. Il n'y avait pas grand-chose à vendre, mais j'ai fini par acheter un médaillon avec l'image d'un cheval. Clark m'a demandé pourquoi je l'aimais tellement. Je lui ai expliqué que lorsque j'étais petite fille, ma famille vivait sur une ferme et j'avais un cheval brun. J'avais l'habitude d'aimer aller à cheval. Un jour il est mort et j'ai été dévastée puisque nous nous connaissions depuis ma naissance. Le médaillon m'aide à me souvenir de mon passé. Comme je me dirigeais vers la caisse pour payer mon médaillon, j'ai remarqué des photos de différentes personnes sur les murs. Elles étaient de vieilles photos d’employés qui avaient travaillé dans le magasin.
J'ai payé et Clark m'attendait dehors. Quand je suis sortie, Clark était assis sur un banc près de l'eau écrivant quelque chose. Je me suis assise à côté de lui et admiré le ciel bleu, où les oiseaux chantaient leurs chansons douces. C'était à peu près l'heure du déjeuner et je pouvais sentir la cuisson du pain à la boulangerie. C'était un si bel endroit. Clark offrit de m'acheter un peu de pain et je lui ai dit que nous pouvions faire des sandwichs pour le déjeuner dans le train. Après avoir acheté le pain, j'ai entendu le conducteur dire de nous dépêcher. Nous sommes arrivés sur le train et retournés à notre wagon où je me suis mise à penser à Clark et comme il était attentionné. C'était un homme si bon.
Peu de temps après, un employé est venu à notre porte pour nous dire qu'il y avait un petit dîner social vers 6 h. Je me suis dit que se serait une occasion parfaite pour porter ma robe élégante. C'était une robe, d'un noir brillant, longue allant jusqu'au plancher, qui a un moment donné était décorée d'un motif floral brillant en forme de diamant sur la hanche. Je ne l'ai plus, mais ce fut toujours mon préféré. Nous nous sommes assis et préparèrent des sandwiches au beurre d'arachide et confiture pour notre déjeuner. Après le déjeuner, j'ai décidai de prendre une marche dans le train. Je marchais dans le couloir bien éclairé. Les murs étaient peints en rouge avec une couleur jaune or autour des portes et des fenêtres. Je regardai les photos sur les murs, qui étaient des photos de la campagne européenne. Comme je les regardais, je savais qu'elles avaient l'air familières, mais je ne savais pas où je les avais vus auparavant. À ce moment, j'ai commençai à avoir mal à la tête, et suis retourné à mon compartiment pour me coucher.
Lorsque je suis entrée j'ai remarquai que Clark n'était pas là. J'ai supposé qu'il était aussi sorti pour une promenade. Hé bien. Je me suis couchai et me suis dormie.
Soudain, je me suis réveillée au son de la voix de Clark. «Il est 5 h» A-t-il dit. «Où étiez-vous plus tôt?» Ai-je demandé.
Il m'a dit qu'il était sorti pour une petite promenade pour travailler sur son histoire. Je lui ai demandé de me laisser la lire, mais il ne voulait pas,pour le moment, parce qu'il voulait que ce soit une surprise. À ce moment, nous nous sommes rappelé qu'il était presque l'heure d'aller au dîner social. Nous sommes donc allés nous changer dans des chambres séparées.
Lorsque nous sommes revenus, Clark m'a regardée et a dit, «Tu es magnifique. Cette robe donne l'impression que tes longs cheveux blonds sont de longues mèches d'or.» «Je vous remercie, M. Rogers.» Dis-je en le taquinant.
Nous sommes sortis du wagon et entrés dans le couloir. Nous rapprochant de la voiture pour dîner, nous entendions les gens rire. Nous sommes entrés dans une pièce bien éclairée, avec de belles lumières accrochées aux murs. J'ai remarquai un vieux monsieur assis au bout d'une grande table de bois, fumant un
cigare, il avait les cheveux gris et courts avec raie sur le côté. Il regarda Clark et moi et me dit, «Vous devez être May Thompson et Clark Rogers.»
Il nous a demandé de nous asseoir, avec tout le monde dans la salle. Nous avons parlé à tout le monde ce soir-là et c'était agréable de pouvoir jaser à tous ces gens merveilleux.
Plus tard, les serveuses sont arrivées pour nous servir à dîner. Nous avions du poulet avec pommes de terre et des légumes, et pour le dessert, nous avions de la mousse au chocolat. J'étais pleine; la nourriture était exquise.
Il était environ huit heures lorsque nous avons commencé à dire bonsoir aux autres passagers puis nous diriger lentement hors de la salle. Une fois entrés dans le couloir, nous avons commencé à parler.
« Dites-moi le sujet du livre que vous écrivez» dis-je.
«Eh bien, il n'y a pas grand-chose à dire. C'est à propose d'un pauvre homme qui va à New York et tente de devenir avocat, mais il doit surmonter de nombreux obstacles parce que personne ne veut l'embaucher. » Répondit-il fièrement avec un sourire traînant sur le côté de sa bouche.
«Je tiens à le lire lorsque vous l'aurez terminé.» Ai-je alors répondu.
Nous sommes finalement arrivés aux toilettes et nous avons remis nos vêtements de tous les jours.
Je suis retournée au wagon, mais Clark n'était pas encore de retour. Je me suis assise lisant un livre pour environ cinq minutes, jusqu'à ce que Clark entre avec une bouteille de champagne et deux verres. Nous avons passé une soirée à parler et à rire. Il se faisait tard et Clark suggéra que nous prenions une bonne nuit de repos. Dans la matinée, nous serions à Paris, et nous sommes allés dormir.
Le lendemain matin, après une bonne nuit sommeil, je me suis réveillée et ai remarquai que Clark dormait encore. Décidant de préparer le thé matinal, je me suis souvenue qu'il appréciait également le thé le matin.
Une demi-heure plus tard, Clark se réveilla. Il leva les yeux vers moi et je me souviens encore des mots que je lui dis: « C'est drôle, tu m'as l'air vraiment familier. » Dis-je. Il m'a regardé drôlement, tout en sautant hors du lit et continua de mettre ses chaussures.
Nous nous sommes assis tous les deux près de la fenêtre et bu notre thé. Nous avons commencé à remarquer que nous n'étions plus dans la campagne. Nous pouvions voir certains des plus grands monuments de Paris. Nous avons même pu voir le sommet de la Tour Eiffel à une certaine distance.
Après avoir bu notre thé, nous avons commencé à emballer nos affaires.
«Que ferez-vous lorsque nous serons descendus du train?» Ai-je demandé.
«Je vais trouver un publiciste, pour publier mon livre. Si jamais vous avez besoin de quelque chose, vous aurez juste à me trouver dans le livre. » Répondit-il.
Nous avions bientôt fini d'emballer nos choses et le train avait finalement arrêté à Paris. Nous avons tous deux dit au revoir au conducteur.
Nous nous sommes regardé l'un et l'autre et je lui ai dit, «Je souhaite que nous nous revoyions bientôt.»
«Je suis sûre que nous le ferons.» Ajouta Clark.
Nous sommes allés dans des directions opposées et j'ai appelé un taxi. J'ai sautai et roulé vers le restaurant Au Petit Café. À bord du train, j'avais lu une brochure sur ce restaurant. Ça semblait être un endroit très agréable pour dîner. Tout en sautant hors du taxi, je levai les yeux vers le signe du restaurant. C'était un petit bâtiment de brique bien décoré avec des lumières suspendues aux fenêtres et le menu affiché sur un panneau juste devant la porte. Il y avait une terrasse couverte, où vous pouviez voir des couples appréciant la compagnie l'un et l'autre et buvant un verre de vin.
J'ai marchais à l'intérieur, tout en remarquant les murs de couleur crème et la barre de bois foncé décorée de panneaux carrés blancs. Il y avait aussi de beaux lustres suspendus au plafond.
Je me suis assise près de la fenêtre et le serveur est venu m'offrir un menu. Il me dit que le spécial d'aujourd'hui était le sorbet aux fruits. Je n'avais pas très faim, mais de toute façon décidé à commander le sorbet aux fruits avec un petit verre de vin rouge. Quelques minutes plus tard, le garçon revint avec mon repas, qui avait l'air délicieux. J'ai rapidement fini de manger, payé la facture et quitté le restaurant. Je vis un homme debout sur le côté de la rue. Je lui ai demandé où je pourrais trouver, 1455 Chemin cristal. Il m'orienta dans la bonne direction, mais quand je me suis retournai pour regarder au loin, il a disparu avec mon sac à main. Je l'ai poursuivi pendant environ trois minutes jusqu'à ce que je fus à bout de souffle et décidant de le laisser aller. De toute façon, je n'avais pas grand-chose dans mon sac parce que je gardais toujours mon argent dans ma poche de manteau.
Grâce à l'aide de cet homme, j'ai commencé à marcher dans la rue réalisant soudainement que je marchais vers la Tour Eiffel. J'ai remarquai une petite boutique du côté de la route. J'y suis entrée et sais une mappe, je l'ai regardé pour un instant jusqu'à ce que je sache où je devais aller.
J'étais à quelques pâtés de maisons de la Tour Eiffel lorsque j'ai remarquai une rue appelée Chemin cristal. Je marchais dans cette rue en regardant les adresses. J'étais à mi-chemin de la rue lorsqu'une voiture passa et m éclaboussa parce qu'il avait plût le matin. L'eau était tellement froide. La voiture n'a même pas arrêté pour m'aider. J'étais toute mouillée. Je ne voulais pas aller à cette maison ayant l'air de ça; donc j'ai décidé de revenir à la petite boutique et me suis dirigée vers la salle de bain. J'ai pris dans ma valise mes vêtements d'extra. J'ai marché vers l'extérieur et retourné tout droit sur la rue. J'avais besoin de savoir ce qui m'attendait derrière cette porte.
J'ai marchai aux alentours cherchant l'adresse et lorsque je vis la maison, je l'ai reconnue. Tout recommença à me revenir. La maison avait un toit vert et un bardage blanc. Il y avait un petit jardin à l'avant où jadis les fleurs poussaient. J'ai montai les marches et frappé à la porte. Après quelques secondes, j'ai vu l'ombre d'un homme à travers la porte de verre. Je me sentais nerveuse lorsqu'il approchait. Puis tout à coup, la porte s'ouvre. Un grand homme se tenait là, me regardant. Je me suis finalement rendu compte de qui il était.
«Que faites-vous ici?» Demandai-je.
Il répondit: «Voulez-vous prendre le thé avec moi?»
En entrant, je regardais les photos sur le mur à motif de fleurs. Nous nous sommes assis dans une pièce éclairée aux chandelles, sur un canapé de couleur bourgogne. Il m'a donné une tasse de thé et nous avons commencé à jaser.
Il m'a demandé de regarder un peu autour et de voir si quelque chose me semblait familier.
Je lui ai demandé, «Pourquoi cela devrait-il me semble familier? Je ne suis jamais venue ici avant.»
Il a ensuite ajouté: «Vous souvenez-vous lorsque je vous ai amené au restaurant sur le coin?»
Je lui ai dit que je ne m'en souvenais pas. Il m'a dit de faire un tour dans la maison. Donc je l'ai fait, j'ai monté l'escalier, vers cette petite chambre. J'ai allumé la lumière et c'était là. Il y avait une photo de moi dans une robe de mariée debout à côté de M. Clark Rogers en face de cette même maison. Je suis retournée pour aller trouver Clark le regardant droit dans les yeux. J'étais déroutée par la vue de cette photo. Je lui ai demandé , «Qui êtes-vous? Je ne me souviens pas m'être mariée.»
Il répond rapidement: «Nous nous connaissons May, vous ne vous en souvenez plus à cause de votre accident.»
Nous sommes descendus en bas dans le salon. Il a sorti des albums de photos et continua à me montrer toutes ces photos de nous, mais je ne me souvenais toujours pas. Ensuite, nous sommes tombés sur cette photo de lui et moi, lorsque nous étions beaucoup plus jeunes. Nous étions assis sous un arbre dans ma cour d'en avant. Puis, je me suis souvenue que nous avions l'habitude de toujours nous voir quand nous étions jeunes parce que nos s parents étaient des amis. Plus tard dans la vie, nous nous sommes rencontrés de nouveau et ont finalement décidé de nous marier.
Il m'a raconté comment nous sommes déménagés à Paris, juste après notre mariage. Peu de temps après, j'ai eu mon accident. J'étais tellement confuse lorsque j'étais à l'hôpital et je pensais que je vivais encore à Bodrum avec mes parents.
Clark m'a expliqué qu'il m'a suivie à Bodrum et mis cette adresse dans ma poche de manteau. Il savait que finalement je chercherais des réponses et essayerais de comprendre ce qu'était la signification de cette adresse. Le jour de mon départ en train, Clark a conclu une entente avec le conducteur de sorte que le conducteur pourrait l'appeler lorsqu'il me verrait à bord du train. Il n'a pas voulu me dire qui il était parce qu'il pensait qu'il m'aurait fait peur en me disant que j'étais sa femme et que je devrais être en amour avec lui. Il savait que cela me ferait peur. Il a simplement attendu, en essayant de me laisser la chance de le connaître et peut-être tomber en amour avec lui à nouveau. Il a été patient avec moi. Il attendit assez longtemps pour que je devienne à l'aise avec lui. Bientôt, j'ai commençai à me souvenir de tout.
Même maintenant, je pense à ce moment dans ma vie. C'était effrayant de ne pas savoir qui j'étais vraiment, où qui était ma famille. C'était seulement vingt ans passés. Depuis, j'ai vécu toute une vie. J’avais deux chiens, un emploi et un mari merveilleux. Clark est décédé il y a quatre ans. C'était un homme courageux et gentil, mais malheureusement, il avait un problème cardiaque. Les médecins ont dû le garder à l'hôpital parce qu'il a fait une attaque. Cependant, il a fini par publier son livre et qui fut un livre à succès. J'ai toujours le manteau et l'adresse dans la poche. Ces deux choses m’ont aidée à retrouver mon chemin du retour. Je ne sais pas ce que j'aurais fait sans mon Clark. Je me remémore ma longue et merveilleuse vie assise ici près de la fenêtre dans ma maison à Paris, et je bois mon thé matinal.